Extrait de la série Les Simpson
(Saison 6 / épisode 9 / Pervers Homer)
http://en.wikipedia.org/wiki/Simpsons
2 juillet 2006, par jeanmarie
Extrait de la série Les Simpson
(Saison 6 / épisode 9 / Pervers Homer)
http://en.wikipedia.org/wiki/Simpsons
17 juin 2006, par jeanmarie
Serait-il possible de passer une journée entière sans entendre parler de notre ministre de l’intérieur dont le nom commence par Sar et finit par Kozy (et avec de vrais morceaux de Pétain dedans) ? hein ?
Rien qu’une journée, une toute petite journée... s’il vous plaît.
Sur France Info, il ne se passe pas une demie heure sans qu’on entende son nom au falsh infos :"Les vaches laitières bretonnes manquent de lait. Nicolas Sarkozy promulgue un projet de loi permettant aux prefets de reconduir les vaches maigres à la frontière"
13 juin 2006, par jeanmarie
« Cela existe. Pas ici, mais maintenant. »
Avec cette campagne, Amnesty International veut rendre les gens conscients du fait que les droits humains sont quotidiennement violés, dans de nombreux endroits sur cette planète.
http://www.amnesty.ch/f/eminf/2006/celaexiste/01.html
Via Kopikol.net.
10 juin 2006, par jeanmarie
8 juin 2006, par jeanmarie
..sont des mots qui vont très bien ensemble, très bien ensemble.
Vous avez surement entendu comme moi, mardi dernier (6 juin 06), dans les médias l’annonce faite par le petit Nicolas : "Les élèves sans papiers ne seront pas expulsés" (Le Figaro / 6 juin 2006) ou comment la politique se sert des médias pour faire de la communication...
Explication de texte :
Reprise d’un article d’Agoravox du mercredi 7 juin 2006 (http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=10318)
Sarkozy, humain pour 2 % des enfants sans-papiers
Le ministre de l’intérieur, dans sa grande mansuétude, a décidé de régulariser environ 800 familles de sans-papiers aux enfants scolarisés. Un geste en trompe-l’oeil, qui n’empêchera pas cet été "la chasse à l’enfant étranger".
Nous vous parlions récemment du danger qui plane sur les enfants scolarisés de parents sans-papiers d’être massivement expulsés dès le 30 juin, puisque Nicolas Sarkozy a demandé aux préfets d’attendre la fin de l’année scolaire, pour plus de discrétion. Essentiellement grâce à l’action du Réseau éducation sans frontière (RESF), qui a lancé un appel à cacher les enfants expulsables (40 277 signatures à l’heure où nous écrivons ces lignes), la discrétion voulue n’a pas suffi et la mobilisation a enflé.
Voilà donc que le ministre de l’intérieur semble faire machine arrière, déclarant avec un cynisme écoeurant : Lorsqu’un enfant étranger est né en France ou qu’il y est arrivé en très bas âge, qu’il est scolarisé en France, qu’il ne parle pas la langue de son pays d’origine, qu’il n’a aucun lien avec ce pays, il serait très cruel de l’y reconduire de force. Les attaches de cet enfant sont en France et son départ serait vécu comme une véritable expatriation, un déracinement. A lire avec des trémolos dans la voix. Or Thierry Mariani, rapporteur du projet de loi sur l’immigration choisie à l’Assemblée nationale, précise le champ d’application de la mesure humanitaire extraordinairement généreuse du candidat UMP à la présidentielle : Les familles qui pourront bénéficier de ce droit exceptionnel au séjour seront celles dont les enfants sont présents en France depuis deux ans ou ayant un enfant né en France ou arrivé en France en très bas âge, scolarisé depuis au moins une année scolaire dans l’enseignement obligatoire, ne parlant que le français et n’ayant plus de lien avec son pays d’origine. Si l’enfant parle français et swahili, ou arabe, ou chinois (ou ce que vous voulez) : expulsé ! Non aux bilingues, ferments de désordre. Si l’enfant a au pays une grand-mère, un oncle, des cousins (ou tout ce que vous voulez qu’on puisse appeler un lien) : expulsé !
En réalité, la régularisation, au cas par cas, ne devrait concerner qu’environ 1200 personnes, suivant le chiffre cité par Le Figaro, qui dévoilait en avant-première hier matin l’annonce sarkozienne. Si le ministère estime le nombre de clandestins à 300 000 à 400 000 personnes, cela représente au bas mot 50 000 enfants. M.Sarkozy ne résout donc que 1 à 2% des cas en se basant sur des critères farfelus, s’indigne Richard Moyon, porte-parole du RESF. Ce qui n’empêche pas Le Figaro de titrer : Les élèves sans papiers ne seront pas expulsés. A part 98 à 99 % d’entre eux ! Appelle-t-on ça de l’information ? En réalité, même s’il ne lui plaît pas qu’on le rappelle publiquement, Monsieur Sarkozy se propose toujours d’organiser cet été la chasse à l’enfant étranger, accuse RESF. La manoeuvre du ministre de l’intérieur est claire : adopter la noble posture de la générosité humanitaire, jetant ainsi de la poudre aux yeux, pour tenter de cacher la réalité de sa politique, tout entière contenue dans le discours qu’il tenait aux préfets le 9 septembre 2005 : Lors de notre dernière rencontre, je vous ai fixé des objectifs chiffrés, en vous demandant de procéder, au minimum, à 23 000 éloignements d’étrangers en situation irrégulière cette année. Je constate qu’à la fin du mois d’août, 12 849 étrangers avaient fait l’objet d’une mesure effective d’éloignement : sur huit mois, 56 % des objectifs ont été atteints. Il vous reste donc cinq mois pour accentuer l’effort. J’observe d’ailleurs que, d’une préfecture à l’autre, les résultats sont inégaux. Or, j’attends de tous une entière mobilisation. Plus encore qu’une obligation de moyens, c’est une obligation de résultats qui vous est fixée. C’est justement aux préfets qu’il appartiendra de juger, au cas par cas, qui mérite régularisation. Sans commentaire.
7 juin 2006, par jeanmarie
Nouveau projet hebergé sur ce portail, Affichage Libre est un PhotoBlog sur le thème de l’expression en espace public, de la parole sur les murs de la ville.
http://affichagelibre.netwazoo.info
Plusieurs contributeurs, plusieurs visions...
19 mai 2006, par jeanmarie
"La France a besoin d’un homme de courage, de résolution Votons Jacques Chirac. En avant toute la nation"
La chanson de campagne de Jacques Chirac pour les élections de 1981.
Et parce que le monde ne doit pas oublier :
Discours de Jacques Chirac au cours d’un diner débat du RPR en 1991 : le bruit et l’odeur.
Une rivière de démagogie, un soupçon de racisme et un doigt de condescendance... Vous en reprendrez bien pour 5 ans avec le nabot ?
Voir la vidéo complète sur le site de l’INA...
1er mai 2006, par jeanmarie
100 000 émissions de radio et de télé sont disponible sur le site de l’INA dont 80% en consultation libre.
L’Institut National de l’Audiovisuel, institut public ayant pour but la conservation du patrimoine audiovisuel national dans le but de le mettre à disposition, a ouvert ses archives au public depuis le 27 avril. Victime de son succès, le site est difficilement accessible.
http://www.ina.fr/archivespourtous/
Ce type d’utilisation intelligente de la technologie permet de rendre accessible et de propager la connaissance : chapeau !
Petite sélection :
Jacques Chirac : le bruit et l’odeur
Journal de 20H - Antenne 2 / A2 - 20/06/1991 - 00h02m57s
Georges Brassens parle de Bourvil
TF1 - 28/12/1975 - 00h03m20s
Jacques Brel sur la colère
Discorama / ORTF - 18/03/1966 - 00h01m31s
N’hésitez pas à laissez vos favoris en commentaires...
3 avril 2006, par jeanmarie
Campagne pour le respect du Numérus Clausus en prison
2 choses :
Les prisons françaises sont surpeuplées. Malgrès ça, certains continuent à prôner une politique d’incarcération à tout va. Comme si le fait d’enfermer les gens résolvait tout. Si tel était le cas, ça se saurait !
Des chiffres circulent comme quoi, si on sortait de prison les personnes condamnées à des peines inférieures à 1 an, le problème de surpopulation disparaitrait. N’y a t’il pas d’alternatives à l’enfermement ?
La prison doit avoir avant tout un rôle de réinsertion et pas seulement punitif. Mais à 4 dans 9m² avec les chiottes à 1m du lit, ça aide pas beaucoup.
Il est temps d’ouvrir le débat : c’est trop facile de dire que si ils sont là, c’est qu’ils l’ont bien cherché.
17 mars 2006, par jeanmarie
A ma gauche, 1788 : déficit budgétaire abyssal et structurel, pseudo-élites complètement larguées par les évènements, gouvernement qui ne sait plus où il va, peuple chauffé à blanc par des années de disette...
A ma droite, 1968 : des grèves chez les salariés, une crise des élites intellectuelles, des étudiants furieux des décisions gouvernementales (CPE, DADVSI...), un cumul de colères chez des populations qui ne se parlent pas (les bourgeois étudiants d’un côté, les jeunes de banlieue de l’autre), un président de la République complètement largué, un premier ministre qui l’est au moins autant bien qu’il soit brillant, une fronde parlementaire des élus de la majorité gouvernementale, un populisme montant sur fond de guerre de succession du patron, des opposants officiels qui se cherchent un chef mais en trouvent une foule, des universités occupées...
L’histoire se répète ? Peut-être, mais laquelle ?
2007 sera-t-il 1792 (avec sa guillotine) ou 1969 (l’année sexe, sea and sun) ?