Après Women are heroes au cinéma, "The wrinkles of the city / Les Sillons de la ville", le nouveau projet de JR...
Dans un monde de l’immédiateté et de l’éternel jeunesse, un regard sensible sur les anciens, les vieux, les ridés...



It’s already gone | Portfolio
www.netwazoo.info/photos
3 février 2011, par jeanmarie
Après Women are heroes au cinéma, "The wrinkles of the city / Les Sillons de la ville", le nouveau projet de JR...
Dans un monde de l’immédiateté et de l’éternel jeunesse, un regard sensible sur les anciens, les vieux, les ridés...
2 février 2011, par jeanmarie
Walker Evans (1903-1975)
Laissant de côté les mystères et les injustices du talent humain, des cerveaux, du goût et des réputations, la matière de l’art dans la photographie peut provenir de ceci : la capture et la projection des plaisirs de la vue.
Walker Evans
Imprégné de littérature française Walker Evans vient étudier à Paris en 1927 et découvre, à cette occasion, le médium photographique. A son retour sur le sol américain, il réalise de multiples reportages sociaux, photographie sans relâche le quotidien, la vie ordinaire dans les villes et les campagnes. Relativement vite, il se hisse au rang de figure majeure de la photographie documentaire américaine.
source
Polaroid Portraits (1973-74)
http://www.americansuburbx.com/2009/08/series-walker-evans-polaroid-portraits.html
Plus d’infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Walker_Evans
http://www.americansuburbx.com/2008/03/asx-channel-walker-evans.html
26 janvier 2011, par jeanmarie
Raymond Depardon explique sa démarche pour son tour de France des sous-préfectures, son projet, ses choix et donne au passage une leçon d’identité nationale...
Le reste de l’entretien : partie 1, partie 2, partie 3, partie 4.
Plus d’infos sur La France de Raymond Depardon : le livre et l’exposition
Photo : Sylvain Bourmeau
15 janvier 2011, par jeanmarie
« La photographie a sauvé ma vie. »
L’œuvre de Nan Goldin est inséparable de sa vie : marquée par le suicide de sa sœur, c’est en photographiant sa famille qu’elle entame son œuvre photographique. Par la suite, celle-ci reste très proche de l’album de famille, par sa technique comme par ses sujets.
Source
11 janvier 2011, par jeanmarie
Quelques jours avant la sortie de son film Women are heroes (plus d’infos), JR présentait son projet à Mediapart. Il explique sa vision de l’art au contact des gens à travers le monde, comment il travaille, pourquoi il tient tant à garder son indépendance financière quitte à saborder son film...
Le film sort ce mercredi 12 janvier : http://www.womenareheroes-lefilm.com
Publicité : Pour l’occasion, Trois Couleurs consacre son quatrième hors-série au photographe-colleur-cinéaste français. On y retrouve un panorama complet de l’œuvre de JR, de ses premières à ses toutes dernières photographies...
En commande par là : http://jr.crakedz.com/livre-3-couleurs-retrospective-jr.html
Note : J’ai reçu ce numéro spécial gratuitement de la Community Manager de MK2.
3 janvier 2011, par jeanmarie
Saul Leiter fut l’un des pionniers de la photographie contemporaine couleur à une époque où seul le noir et blanc était digne d’intérêt. Il est considéré pour l’essentiel de son travail comme un photographe des rues de New York ; il fut cependant plus réputé pour ses photographies de mode. Son but n’est pas d’illustrer la vie citadine, mais de rechercher les instants et les scènes fugaces. Il travaille des cadrages originaux en utilisant beaucoup des vides (noirs) dans ses images. La succession des plans dans ses images superpose différentes histoires génératrices de mystère. Il aime le flou — il joue de la mise au point —, la buée et l’anonymat des passants : « Il me semble que des choses mystérieuses peuvent prendre place dans des lieux familiers ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saul_Leiter
Il a saisi un entre-deux-mondes délicat à mille lieux de la jungle urbaine qui lui servait de sujet. Un monde flottant, embué, dans une succession infinie de mises en abîmes, tendant volontiers vers l’expressionisme abstrait de ses peintures. Ses images métamorphosent la réalité pour créer un univers à la fois poétique, onirique et apaisant, sur lequel plane la douceur de la mélancolie.
http://www.photosapiens.com/Photographies-de-Saul-Leiter.html
28 décembre 2010, par jeanmarie
William Paul Gottlieb (28 janvier 1917 – 23 avril 2006) était un photographe et un chroniqueur de journal américain célèbre pour ses photographies classiques des principaux interprètes de « l’âge d’or » du jazz américain dans les années 1930 et 1940. Les photographies de Gottlieb sont parmi les plus connues et de loin les plus reproduites de cette époque du jazz.
http://en.wikipedia.org/wiki/William_Paul_Gottlieb
Début 2010, la Bibliothèque du Congrès US (équivalent de notre bibliothèque nationale) a publié sur son compte Flickr l’ensemble des photos de Gottlieb passées dans le domaine public. Ce sont donc quelques 1 600 clichés du jazz 1930s/1940s qui sont librement accessible sur le site de partage.
Toutes les photos : http://www.flickr.com/photos/library_of_congress/sets/72157624588645784/
28 décembre 2010, par jeanmarie
Laetitia Chretien et Sebastien Zanini pour Clark Magazine, 2010
http://laetitiaandsebastien.blogspot.com
18 décembre 2010, par jeanmarie
Photos : xoaher@gmail.com_ !! | X o a h e r . Bangladesh
http://www.flickr.com/photos/xoaher_musavvir/
Photos : xoaher@gmail.com_ !! | X o a h e r .
http://www.flickr.com/photos/xoaher_musavvir/
15 décembre 2010, par jeanmarie
Alors que Faites le mur, le film du graffeur/pochoiriste anglais Banksy sur l’art urbain (street art) est sorti aujourd’hui, on retrouve la bande annonce de Women are heroes, le film du photographe français JR.
Celui qui photographiait les jeunes de Clichy en 2004 (un an avant les émeutes) pour les coller dans les quartiers huppés de la capitale s’est fait connaitre en 2007 en collant des portraits de juifs et de palestiniens, hilares, de chaque côté du mur.
Pour Women are heroes, l’autoproclamé artiviste photographie des femmes anonymes de par le monde et colle les portraits grand format sur les murs de leur ville pour confronter la société à travers l’image de la femme.
Si le principe est immuable - des portraits grand format -, JR fait parfois assaut d’inventivité. Au Kenya, il a imprimé sur des bâches, pour que ses images servent aussi de toits imperméables dans les bidonvilles. En Inde, il a collé des affiches apparemment blanches. En fait, une partie était autocollante : ce sont les pigments lancés lors de la Fête des couleurs qui ont peu à peu fait apparaître les visages.
Source
Extrait du film
Plus d’infos :
http://www.jr-art.net
L’inépuisable énergie de JR, l’"artiviste" (Le Monde, 02.12.10)
Interview de JR sur son travail