8 mars 2009, par jeanmarie
16 février 2009, par jeanmarie
Source : Guinnog / Wikipedia
10 février 2009, par jeanmarie
En janvier 2007, le Washington Post réalise une enquête dans le métro de la capitale américaine sur la perception, les priorités et les goûts des gens.
L’enquête peut se résumer à une question d’ordre philosophique :
« What is beauty ? Is it a measurable fact (Gottfried Leibniz), or merely an opinion (David Hume), or is it a little of each, colored by the immediate state of mind of the observer (Immanuel Kant) ? »
Qu’est-ce que la beauté ? Est-elle quantifiable ou est-ce juste une opinion ? Ou bien est-ce un peu des deux, teinté de l’état d’esprit de celui qui la voit ?
Pour cela, le journal installe Joshua Bell, l’un des meilleurs violonistes classique, à l’entrée d’une station sur les coups de 8h pour voir si les gens (1097 personnes en 43 minutes) changeraient ce qu’ils avaient prévu pour s’arrêter et écouter.
Il a joué certaines des "plus grandes partitions jamais écrites" sur un Stradivarius estimé à 3.5 million $ fait main par Antonio Stradivari lui même en 1713.
Durant les 3/4h où il a joué, 7 personnes se sont arrêtées pour jeter un oeil, 27 ont donné de l’argent (32$ en tout), la plupart sans s’arrêter. Une seule personne l’a reconnu. J’aurai aimé être cette personne, mais je n’en suis vraiment pas convaincu !
Trois jours auparavant, son récital au Boston Symphony Hall état "sold-out" et certaines places se sont vendues jusqu’à 100$.
Source :
http://www.washingtonpost.com/wp...2007040401721.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Joshua_Bell
7 janvier 2009, par jeanmarie
Reprise d’un article de BlogAntiPub.
Un jeune homme va pour sortir de chez lui, croisant un voisin qui parle tout seul, il s’en étonne. Mais dans la rue la situation continue, chaque passant parle seul, sans se préoccuper des autres, même cet homme d’une cinquantaine d’année ordinairement peu au fait de la mode ou de l’air du temps.
Personne ne le voit, ne le remarque, ne le voit, il se fait même bousculer, il n’existe plus aux yeux de tous, il n’est plus personne.
Comme pris de panique, il court et se jette dans une bouche de métro, recherchant sans doute la protection symbolique d’un ventre maternel ainsi que l’espace normalisé d’un flux mais son cauchemar continue, dans la rame, personne ne se regarde, impossible d’accrocher les regards, tout le monde se parle seul.
Il sort sur l’esplanade de la Défense, lieu parfait d’absence totale de nature, aseptisé, dédié au commerce, à l’industrie en col blanc, à la finance… Il s’effondre et s’assoit comme désespéré sur les marche froides en marbre.
Soudain, il a compris, il mets des écouteurs dans ses oreilles, sourit et se met à parler seul à son tour. La marque d’un téléphone portable apparait.
Dans le dernier plan, il marche seul, de dos, en faisant des gestes tel un pantin. Il est désormais connecté, il ne nous intéresse plus, il n’est plus personne et se fond dans la foule.La rencontre physique n’est désormais plus possible sans en passer par une machine dont l’activation passe par le paiement mensuel d’un forfait. Le rêve parfait du monde néolibéral : payer pour faire partie de la société selon son rang, selon le prix de son abonnement ou être condamné à n’être plus personne, à ne plus exister…
PeWeck / 5 janvier 2009 à 17:29
17 septembre 2008, par jeanmarie
"On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde."
Ah ouais, même aujourd’hui ?
D’autres vidéos par là :
http://www.dailymotion.com/pierredesproges
Un site officiel par ici : http://www.desproges.fr/
Et bio par là bas :http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Desproges
8 mars 2008, par jeanmarie
Aujourd’hui, c’est la journée de la femme ("entre la journée du livre et la journée chien" disait Antoine de Caunes).
40 ans après mai 1968, Maria Candea, présidente de l’association Mix-Cité, nous explique ce qu’est le féminisme aujourd’hui et quels en sont les enjeux.
40 ans après mai 1968, cette journée internationale de la femme, ce n’est pas, selon elle, un "combat contre les hommes. C’est un combat avec les hommes, pour l’égalité. Il y a encore du travail..."
A la veille du premier tour des municipales, la parité promise n’est toujours pas au rendez-vous. C’est « navrant » constate Maria Candea. Selon elle il faut maintenant « changer les mentalités : les parents doivent se poser la question, comment on programme les filles et les garçons pour la vie. ». La cible de la présidente de Mix-Cité ; les catalogues de jouets. L’association Lix-Cité appelle à manifester aujourd’hui.
Association Mix Cité
La chronique sur le site de France Info
27 janvier 2008, par jeanmarie
... par South Park !
Il est à noter que tout ce qui est dit dans l’extrait est vrai... jusqu’aux fusée ressemblant aux DC-8 !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Scientologie
’’via Webjunkie bien sur !’’
5 octobre 2007, par jeanmarie
En instaurant des tests ADN pour prouver une filiation dans le cadre d’un regroupement familial, l’amendement Mariani, adopté par l’Assemblée Nationale, fait entrer la génétique dans l’ère d’une utilisation non plus simplement médicale et judiciaire mais dorénavant dévolue au contrôle étatique.
Signez la pétition :
www.touchepasamonadn.com
19 août 2007, par jeanmarie
Exercice trouvé dans un Abrégé de arithmétique de 1875.
Et n’oubliez pas : le travail, c’est la liberté... Arbeit macht frei comme dirait l’autre.
20 juin 2007, par jeanmarie
Reprise d’un article de BlogAntiPub
Pathétique, il essayait bien de la faire rire un peu en faisant le clown avec sa tête à la Pierre Richard...
Mais le contact entre eux est coupé depuis longtemps. Elle est devenue autiste avec son baladeur musical constamment sur les oreilles. Elle est pourtant d’un âge où l’on rit encore de presque rien où ce qui compte est avant tout le moment partagé.
En fait, elle est déjà vieille, blasée. Elle est déjà ado avant d’être pré-ado alors que lui n’est même plus un adulescent mais un enfant... Le retournement des valeurs est une pratique habituelle dans la publicité, elle permet de brouiller les repères, dynamiter les hiérarchies, détruire la culture et l’éducation.
Le monde que nous propose les publicitaires est totalement désenchanté. Elle va régulièrement “bouffer” dans les fast-food, son embonpoint, préoccupent à cet âge là, nous l’atteste. Le tas de légumes sur la tables ajoute à sa prochaine dépression. Alors effectivement pourquoi ne pas continuer, au point où nous en sommes et confier à la télévision la garde et l’éducation de cette enfant ?
La télévision, le monde virtuel où les parents sont super chouettes, la marchandise reine, les désirs des ordres et le système unique et libéral.
L’article original sur le site de BlogAntiPub